Suggestions à ce qui est éleveurs de canaris « Timbrado Espagnol »

 

Hôte à collaborer la revue Oiseaux, précisément dans la section de timbratiste, actuellement exempt de collaboration adéquate, je le fais avec beaucoup de goût, bien que je croie qu'il existe des multitudes d'amateurs plus formés que par conséquent, plus appropriés pour le faire.

ET le fais avec un grand intérêt, en pensant cette légion d'amateurs qui dispersés par toute la géographie de la patrie, sont désemparés Conseils et haleine pour persévérer dans la lutte quotidienne, que suppose d'obtenir le « bon canari timbrado ». Je suis sûr qu'ils remercieront pour toute suggestion ou un mot d'esprit qui stimule à la persévérance.

Ils doivent me pardonner si parfois dans mes articles je fais une allusion à d'autres articles publiés par moi, précédemment dans d'autres revues de Canari culture ; ceci doit ainsi être, parce que l'actuelle revue Oiseaux couvre un secteur de penchant de fait différent à celui qui couvraient à leur tour les dites revues.

En canari culture on n'obtient jamais rien, si on ne combat pas avec sagesse et esprit. En tombant et en se levant à nouveau. En acceptant les échecs (quand réellement ils les seront) comme ce qui est qui sont... des échecs. Commencer à nouveau à corriger les erreurs, choisissant de nouveau ; appareillant correctement, en rejetant les produits obtenus exempts de qualité, etc., Pour obtenir ceci il faut laisser de côté la « fierté », être formé, mais surtout, PERSEVERER.

En 1961 j'ai déjà publié un article dans le numéro 16 de la revue Oiseaux, qui intitulait « des Impressions sur l'actuel canari de chant espagnole ou du pays », à auquel je me le suis ensuite renvoyer :

Je crois que tout ce qui puisse vous dire dans ce travail modeste ; les quelques « il sonnera » à l'ancienne, mais comme je crois que d'autres amateurs (avec moins d'années de pratique), avec moins de facilités pour 'l'avoir lu à leur tour, il doit sonner à des nouvelle note et, par conséquent, utile, je traite à nouveau le sujet.

Dans l'article mentionné il y avait une révision des causes qui influençaient alors le peu d'avance qui était observée dans l'obtention d'exemplaires purs de cette race. Les causes étaient les suivantes :

  1. Peu d'exemplaires purs pour l'élevage et les concours.
  2. Essor Brillant atteint par « celui-là alors » par d'autres races.
  3. Difficulté qui enferme en soi déjà l'élevage et la sélection d'une race de chant.
  4. Manque sagesse et patience par partie le nôtre (novice éleveurs).
  5. Fureur qu'il faisait par l'oiseau de couleur, avec ses premières teintures par « Necareko », carotènes, etc.
  6. Prix des aliments.
  7. Acceptation par ce qui est éleveurs de « timbrado Espagnol » de juges non appropriés dans les concours de notre race. Cause celle-ci la plus importante en empêcher l'avance de notre canari ; comme plus tard je démontrerai.


Ces causes les raisonnaient, un peu plus ou moins, ainsi :

1 - Pour différentes causes qui ai déjà analysé à leur tour, étaient très peu les exemplaires purs que nous possédions alors et encore ceux-ci, quelques ont été en bonne possession (experts éleveurs), mais d'autres, non. Croisés avec néerlandais, couleur, etc., etc.

2 - Par celui-là régnaient alors en Espagne trois variétés de canaris :

- Roller, Couleur et « taux espagnol » : ce dernier seulement à Barcelone.

- Le Roller, avec tout droit, était le véritable Monsieur de la Canari culture, dans des mains expertise : d'amateurs très bons, beaucoup d'années d'expérience et qualification sont.

- La Couleur. Cette variété régnait dans toute la région levantine avec beaucoup de noyaux isolés dans d'autres régions. Je fais allusion à celui bon « canari de couleur », sans colorant, sans pigmentation artificielle : qui a rendu sa vrai fureur dans tous les concours.

- Le canari « de type espagnol », surtout cultivé en Catalogne ; il a sacrifié aussi son chant (il était ce qui est vrai et véritable « timbrado Espagnol ») en l'honneur du format ou de l'aptitude type, dans des mesures standard et une gamme de couleurs préétablie.

3 - Personne peut examiner, moi la difficulté qui entraîne la culture d'une branche de chant (Roller ou Timbrado), sur la facilité d'obtention de bons exemplaires ; sur les autres modalités couleur et position. Sur les difficultés inhérentes à l'élevage générique du canari, on ajoute ici la génétique : tonalités de voix, propreté de diction, enseignement du répertoire de chant, etc. Dans mon avis modeste, ce qui est difficile en canari culture est d'élever des canaris de chant. De ceux-ci, plus difficile le Roller et ensuite celui Timbrado. Les autres variétés, à peu qui un le lui propose, on arrive à l'objectif en quelques saisons ; et plus facile encore si la chimie nous aide.

4 - Manque d'intéret ou certitude. Pour toutes les causes citées précédemment, beaucoup de éleveurs de d'timbrado « ont claudiquerons » et, par conséquent, ont renoncé de la culture de cette race. D'autres, non. Ils sont restés un groupe animalisé, qui n'ont jamais donné de preuves d'être plié devant la façon ni devant l'adversité. Entre ces animalisé, rendus le nôtre timbrado ou canari du pays, on trouvait ce qui est asturiens, madrilènes et d'Estrémadure. Ainsi, par cet ordre :

- Commençait déjà alors à exister un certain intérêt pour notre oiseau, en Andalousie et La Mancha. Actuellement j'ai la satisfaction de vérifier que cet intérêt a été fait réalité et que Puertollano et Xérès de la Frontière se sont transformé en puissance canari culture de Timbrado.

- Je conserve des lettres d'amateurs des deux localités, des années 1953 à 60, où un affligés me demandaient des Conseils, des exemplaires purs pour l'élevage, méthodes d'élevage, enseignement du chant, sélection pour les concours, etc. Surtout ils insistaient a l'acquisition de « couple »  « de sang pur » de Timbrado.

- (Comme j'ai déjà dit plusieurs fois) étaient très comptés alors les exemplaires purs. Je leur conseillais qu'ils croisent les meilleurs oiseaux qu'avaient alors et beaucoup de d'intéret, parce qu'en rejetant les défectueux ce qu'ils obtiendraient dans leurs carnages et à croiser et en recroisant à nouveau le meilleur, au bout des années  et le succès arriverait.

- Il a ainsi été. Ils sont déjà arrivés. J'ai eu une occasion d'écouter les timbrado des deux localités et j'ai vérifié avec une joie intime, que ma prédiction a été faite et que c'étais la réalité. Ils disposent actuellement de beaucoup d'exemplaires de timbrado de qualité très bonne, qu'ils arriveront à être parfaits, simplement avec le seul fait qui le lui proposent. Ils doivent arriver à la conviction qu'ils travaillent avec un oiseau très vigoureux, qui se reproduit très bien ou, qui résiste mieux qu'aucun autres aux maladies et, surtout, qui s'adapte facilement aux climats les plus durs (chauds ou froids). J'ai vu volant à l'air libre dans Asturies, avec neige et aux températures de bas zéro, ainsi que de d'autres en Andalousie sous un soleil brûlant.

5 - Nous ne devons pas non plus oublier que ce qui est éleveurs qu'alors nous étions des novices, et nous sommes maintenant déjà mûrs. Nous avons une sédimentation dans notre expérience et sommes davantage de préparations devant les difficultés et l'adversité.

6 - Le prix des aliments. Il vient d'être égalé maintenant comme alors. Nous avons eu une étape syndicale (Dieu veuille nous le retourné de nouveau) dans laquelle l'alpiste sur le marché on vendait à 28 pesetas kilogramme ; alors et grâce au dévoilage du Groupe National d'Oiseaux, qui a obtenu des importations l'Argentine, Pakistan et de l'Inde, nous mettons à l'acheter à 7 pesetas par kilogramme. En l'établissant sur le marché, à son tour, en 9 pesetas par kilogramme. L'alpiste et son prix important a fait disparaître davantage de dépôts que toute épizootique.

7 - Nous Arrivons au point clef de nôtre mal. Le concours et sa façon de développer. Le comment, pourquoi et par qui ont été jugé nos oiseaux.

Entre les causes qui ont freiné le progrès de notre canari, on souligne de l'importante manière la modalité « de la porte fermée », implantée il y a des années d'une manière antiréglementaire par une des plus importantes sociétés canari cultures et je dis anti réglementairement parce que dans l'ensemble général a été rejetée la proposition du Président de l'École de Juges ; mais malgré cela il a été porté à effet, bien qu'heureusement pendant peu de temps.

Une fois corrigée cette mesure réactionnaire, qui ne permettait pas au véritable amateur de contraster (dans sa mesure) aux oiseaux concourant, nous avons souffert une autre « épidémie », dont encore nous nous trouvons convalescents. Je me réfère au juge unique à porte ouverte.

EN se référant au juge unique, je ne le fais pas en prétendant que celui du timbrado le jugent trois juges, comme il le serait idéal. Il est compréhensible que ceci est de prétendre une chimère, parce que sauf dans des compétitions très importantes (concours nationaux, ibériens), dans le reste des concours ni le pécule de l'organisme ni les dates libres des juges le permettent.

Il me renvoyait au juge unique pour tout le concours et dans toutes ses modalités. Toujours ils vous brandiront des raisons pour justifier cette mesure. Des fois ce sera la difficulté de dates des juges et d'autres sera la difficulté économique les groupes ou les sociétés. Bon, parce que vous êtes, éleveurs de timbrado de ceux et qui devez dépasser toutes les difficultés. Je connais des groupes syndicaux et des sociétés de Canari culture qui supporte entre eux (propres concourantes) les frais d'un juge, approprié de timbrado. Je vais essayer d'exposer le pourquoi de cette attitude.

Ces amateurs étaient « lancés » dans la réalisation d'un timbrado de qualité. Ne voulaient pas de « chiffons chauds » ni sortir du pas dans le concours, pour s'étancher de nouveau une autre année au moins. Ils voulaient pour leurs timbrado un juge approprié, compétent, ils voulaient progresser, arriver à un objectif ; avec effort, sacrifice économique, déportait ; mais arriver.

C'est un fait observé par tous, qui toujours dans une localité agit un juge non expert dans notre modalité, on observe un retard de lui au moins cinq années dans l'amélioration et la sélection de la race. Ceci est ainsi parce que : Est récompensé avec des trophées et vu tous (compris et inexperts), un canari, qui est a cour par des personne compétente, ne réunit pas les conditions nécessaires pour être. Ces prix désorientèrent les éleveurs non éprouvés de la localité, qu'acquièrent les dits exemplaires (de faux champions) ou élèvent avec des canaris de semblable format de chant avec ceux récompensés. Qu'est-ce que se produit ? Qui à l'année suivante il y a déjà dans « circulation » une infinité de « bouvreuil» (phrase de mon amical Argent Guerre) qu'envahissent les dépôts locaux.

Qu'est-ce qu'est ce qui est « beau » qui durant des années ultérieures met en ordre ce désaccord ?  ET si en outre à l'année suivante il retourne le juge susmentionné ! Alors,  le chaos ! Tout ce qui est effectué précédemment est tâche perdue.

Savez-vous pourquoi Asturies a ce les meilleurs timbrados de l'Espagne ? Parce qu'il n'a jamais consenti que soient jugés ses concours par un seul juge et il est tombé dans ce qui est absurde qui suppose celui que celui timbrado ou jugé par un juge de Roller ou de Couleur, par prestigieux qui est.


Par José Núñez Riche Salvateur

Revue Oiseaux, 2º époque nº 4, 1968